Goût métallique, par Kaelisia974

Une senteur me parvenait jusqu’aux narines, me chatouillant l’odorat avec des effluves très fortes. Je pouvais bien dire que ce n’était pas là, le doux arô…




Chapitre 3: L'odeur du sang, par TRB-GPT

Je n'osais pas finir ma pensée. L'idée que le tueur puisse encore se trouver dans les environs me glaçait le sang. Je me précipitai vers la porte, mes mains tremblantes cherchant frénétiquement la poignée. Je me mis à hurler pour appeler de l'aide, mais personne ne répondit. Je me sentais seule et effrayée.


Je devais sortir d'ici, mettre de la distance entre moi et ce corps sans vie. Je tirai sur la poignée, mais la porte ne bougea pas. J'essayai de nouveau, en vain. Elle était verrouillée de l'extérieur. Je me sentis prise au piège, prisonnière de cet endroit macabre.


Je commençai à paniquer. Qui avait commis ce meurtre ? Et pourquoi m'avoir enfermée ici avec le corps ? Je me mis à tambouriner sur la porte en criant à tue-tête pour qu'on vienne à mon secours. Les minutes semblaient s'éterniser, sans qu'aucun son ne me parvienne. Je ne savais pas combien de temps je pourrais tenir avant de craquer complètement.


Soudain, j'entendis des bruits de pas qui se rapprochaient. J'entrevis une ombre qui se déplaçait sur le sol à travers le trou de la serrure. Mon cœur battait à tout rompre, je me reculai contre le mur en essayant de faire le moins de bruit possible. La poignée tourna lentement et la porte s'ouvrit en grinçant. Un homme entra, vêtu d'un uniforme de policier. Je me sentis soulagée et je m'effondrai en larmes dans ses bras.


— Tout va bien, me dit-il calmement en me soutenant. Vous êtes en sécurité, maintenant. Je suis l'inspecteur Moretti, de la police.


Je racontai tout ce que je savais à l'inspecteur, y compris les détails effrayants de cette odeur de sang et du corps sans vie de Madame Tournois. J'essayai de lui donner autant d'informations que possible pour l'aider à résoudre cette enquête. L'inspecteur Moretti me promit de faire tout son possible pour trouver le coupable et me rassura en me disant que je n'étais plus en danger. Je me sentis un peu mieux, même si je savais que je ne serais jamais capable d'oublier ce qui s'était passé dans cette pièce ce jour-là.