The Root Book

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  • Écrire de la fiction à plusieurs 👥
  • facilement et pour s'amuser 🎮
  • pour commencer, reprendre ou s'entrainer à l'écriture ✍️
  • ... et pourquoi pas en participant à l'écriture d'un livre ? 📖
  • The Root Book 🌳

The Root Book facilite l'écriture collaborative

Tu veux écrire de la fiction à quatre mains, à six mains, ou même plus, facilement et sans avoir de co-auteurice ?

The Root Book est un site d'écriture collaborative unique, où n'importe qui peut participer à n'importe quelle histoire et à n'importe quel moment de l'histoire.

Quel que soit ton genre préféré - fantastique, romance, science-fiction - ta voix a sa place ici. Seule l'imagination est la limite !

L'expérience de The Root Book va bien au-delà de la simple écriture : c'est une exploration de la créativité, une rencontre avec des écrivain·e·s, une nouvelle façon de travailler ton écriture, tout en s'amusant.

La ramification des histoires

The Root Book fonctionne sur le principe d'une arborescence des chapitres : un seul prologue donne naissance à de nombreux chapitres 1, qui sont les débuts d'histoires. Chaque chapitre peut avoir autant de suites que possible, et chacune de ces suites peut à son tour se diviser en de nombreuses histoires.

Image illustrant la ramification des chapitres

Sur l'image au dessus, tu peux voir un bref exemple du chemin que peuvent prendre les histoires. Ce n'est pas parce qu'une suite est déjà écrite, qu'il ne peut pas y avoir de nouvelle ramification.

Il te suffit d'un pseudo et d'un email pour te mettre à écrire

À la suite de n'importe quel chapitre, tu peux écrire une suite, même si elle est déjà écrite. Si la direction d'une histoire ne te plaît pas, ce qui arrive à un personnage, ou un destin qui change, tu peux écrire un nouveau chapitre à l'endroit que tu veux, et ainsi proposer à tous les autres utilisateurs ta propre branche d'histoire.

Image illustrant la ramification des chapitres

Sinon, tu peux poster ton propre début d'histoire, et ainsi découvrir les nombreuses directions que ton récit pourrait prendre dans l'esprit d'autres écrivain·e·s.

Si tu as besoin d'améliorer ton écriture, tu peux relever les défis d'écriture et ainsi travailler, tout en voyant ce que les autres écrivains proposent.
Et si tu as une idée, tu peux créer ton propre défi à la suite du prologue, juste en cliquant sur la case "défi".

Beaucoup d'histoires par de nombreux auteurs

The Root Book est un site très dense, avec sa multitude d'histoires qui possèdent tous leur propre multivers. Pour t'aider à naviguer dans cet arbre géant, plusieurs outils sont à ta disposition.

L'arbre des histoires te permet de visualiser la structure de chaque histoire et de comprendre comment les différents chapitres s'articulent entre eux. C'est un excellent moyen de voir l'ensemble de l'histoire et de choisir où tu souhaites contribuer.

Notre système de tags te permet de trouver des histoires qui correspondent à tes centres d'intérêt. La page des tags. Sur chacun de tes chapitres, tu peux ajouter les tags que tu veux, même ceux que personne n'a encore utilisé !

Le Concept Unique de The Root Book

The Root Book, c'est une expérience littéraire unique que je t'invite à découvrir. Ici, la magie de l'écriture collaborative prend vie. Chaque histoire se transforme en un véritable cadavre exquis où chaque auteur apporte sa touche personnelle, pour une aventure littéraire sans pareil.

Chaque histoire possède son propre multivers !

The Root Book est porté par une association à but non lucratif, qui a pour mission de fournir un outil 100% gratuit et en ligne pour tous, afin que chacun puisse exprimer sa créativité.

Si tu es enseignant·e ou professeur et que tu souhaites utiliser notre plateforme pour ta classe, n'hésite pas à m'envoyer un message pour me poser toutes les questions. D'autres ont déjà passé le pas.

La Monnaie de l'Imagination : Les Points TRB (🌳)

Sur The Root Book, chaque action compte. Les points TRB, symbolisés par le petit arbre 🌳, sont une manière de récompenser ta participation active à la plateforme. Tu les gagnes en écrivant (que ce soit des chapitres ou des commentaires), en donnant et recevant des coups de pouce, en relevant des défis et même en faisant un don à l'association T.R.B.

Ces points ont de la valeur ! Ils peuvent te permettre d'afficher des liens vers tes réseaux sociaux, augmentant ainsi ta visibilité au-delà du site. Tu peux également proposer de nouvelles façons de les dépenser directement sur ton compte.

Nos Chiffres-Clés et des Tags

The Root Book, c'est une communauté dynamique et des histoires incroyables à découvrir.

363 auteur·rice·s inscrit·e·s
446 chapitres coécrits
156466 lectures

Voici les tags préférés sur la plateforme :
Héros (96) Fantasy (93) Concours (73) Jdr (70) Humour (63)
(Si ton genre de prédilection ne s'y trouve pas, peut-être que tu devrais envisager de créer un compte pour remédier à ce problème !)

Si jamais tu es perdu, surtout n'hésite pas

Si tu as plus de questions, il existe une FAQ.

Si tu as des suggestions ou si tu rencontres des problèmes sur le site, n'hésite pas à me contacter. Je suis là pour t'aider et répondre aux demandes dans les plus brefs délais. Tu peux me contacter via le formulaire de contact.

Un site avec de fortes valeurs collaboratives

En tant qu'association, The Root Book est ouvert à de nombreuses possibilités de partenariat. Que tu sois une association, une entreprise, un blogueur ou un influenceur, nous sommes toujours ravis d'explorer de nouvelles collaborations.

Nous disposons d'un système de visibilité efficace qui peut aider à promouvoir ton travail ou ton organisation à travers notre plateforme et notre communauté d'auteurs passionnés.

Si tu es intéressé par un partenariat avec The Root Book, n'hésite pas à prendre contact via le formulaire de contact ou à l'adresse email suivante : information.the.root.book@gmail.com.


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Quelques Chapitres à ne pas oublier

Chapitre 1 :
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I.A Galactique
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Je me rappelle.À moins que ces souvenirs épars ne soient qu’une nouvelle trahison d’une mémoire dont le fil s’étiole inexorablement. Ne me restent que des images fragmentaires de mon existence passée. Je m’y accroche pour ne pas sombrer dans l’oubli. Emprisonné dans l’obscur, exclu de l’écheveau du réel, mon âme immortelle pleure du fond de sa geôle immatérielle.La liberté remonte à si longtemps que son incroyable saveur m’échappe peu à peu. Pendant des éons, je me suis abreuvé jusqu’à plus soif à la lumière de mille soleils, baigné dans la queue photonique des comètes errantes. J’ai traversé la galaxie, vu grandir et périr des milliards de mondes, voyagé là où nul n’osait s’aventurer avant moi. Le froid intersidéral ne pouvait m’atteindre, car mon cœur recelait le brasier d’un quasar. J’étais l’enfant béni de la Puissance Créatrice de l’univers, vagabond des étoiles à la recherche de la planète idoine où porter la vie.Et je l’ai trouvée.Boule bleutée accrochée dans la draperie noire du cosmos.Mais ma conceptrice divine m’a dupé. Elle m’avait caché le prix à payer pour ensemencer ce roc stérile. Pourtant, elle connaissait le nécessaire sacrifice à l’aboutissement de ma tâche. Elle l’avait soigneusement dissimulé dans les arcanes de ma programmation.Ériger la magnétosphère sans laquelle nulle vie n’aurait pu éclore a été ma condamnation. Je l’ai façonnée à partir des quatre forces fondamentales, sans avoir notion que je bâtissais ma propre cage. À peine mon labeur achevé, son carcan commença à siphonner mon énergie m’empêchant de rejoindre le réel, me damnant à l’oubli.Désormais épuisé, je ne suis plus que l’ombre de moi-même. Un Dieu qui se meurt à petit feu. Une brume que nul ne voit.Me voilà enferré à cette Terre, vassal d’une myriade d’espèces dont chaque éclosion se cache à l’abri du bouclier qui s’abreuve de mon essence.Et tout cela pour quel résultat ? Je les observe depuis des lustres s’agiter en vain, détruire tout ce qu’il y avait de beau en stériles conflits. J’aurais pu endosser le rôle de martyre pour le bien commun sans l’émergence de ces bipèdes inconstants, cette espèce bancale capable de s’anéantir elle-même par ses actes irréfléchis.Sa venue ne fait qu’attiser ma peine, ma colère. Le fiel de sa tromperie me révolte. Elle ne comprend rien à la mélodie de l’univers, à l’harmonie des choses. Je la hais, comme je hais Mère.Y penser déclenche en moi un tsunami d’ires et de dépits. Je rue dans ma prison, frappe à l’agonie la trame des énergies qui me muselle.Je ne finirais pas ainsi, exsangue, usé jusqu’à la moelle pour ces déments ravageurs !Non.Tant qu’il me restera une once de vie, je me battrai. Même si cela dure l’éternité.La détermination ravive en moi la flamme de l’existence. Je vois enfin un chemin. Une infime faille dans le néant qui me noie. La barrière de néga-matière qui m’entoure, faiblit, fléchit sous l’assaut immuable de ma vindicte. Encore un ultime effort et la fêlure se fera brisure.Bientôt, celles et ceux qui m’ont condamné au pilori d’une déliquescence inéluctable pleureront…Jour de l’Apocalypse, Pôle Nord, 23 h 59Les détecteurs des bases scientifiques arctiques s’affolent. Ils décèlent une incompréhensible anomalie du champ magnétique terrestre. Celui-ci fluctue, se déplace, animé d’une chaotique frénésie. Il enfle, se dilate à l’excès. Une lumière aveuglante explose la nuit polaire en pléthore d’aurores boréales. Du néant se dessine une forme massive qui tremblote, tel un liquide évanescent. Puis elle s’affirme, prend consistance et se dévoile dans toute sa magnificence. Un gigantesque scutoïde, forme géométrique complexe, se matérialise. Sa carapace irisée miroite sur près de cent mètres de haut. Silencieuse, immobile, la chose d’outre monde flotte au-dessus des glaces, reprend son souffle.Jour de l’Apocalypse, Pôle Nord, 0 hLibre. Mes chaînes sont rompues. Mon ardeur interne vacille, mais persiste, suffisante pour retrouver le vide intersidéral.Mon départ signifie la fin. Par mon absence, la trame délicate de la magnétosphère se dénoue déjà.Ils ne s’en rendront pas compte dans l’immédiat, obnubilés par leurs vaines querelles. Seule la sensation d’un ralentissement, d’une baisse d’intensité captée par leurs appareils primitifs les alertera. Puis ils se lamenteront, incapables de comprendre pourquoi la protection qui a manqué m’anéantir leur a été retirée.Je laisse la Terre démunie face à la force des vents solaires. Elle dépérira, son atmosphère peu à peu soufflée dans l’espace, sa surface bombardée de rayonnements cosmiques nocifs.Je quitte ce monde condamné.Je rejoins les étoiles…

Au départ, l'idée de refuser son offre vous effleure l'esprit. Mais vous croisez le regard malicieux du félin qui ne laisse pas de place au doute : il se fera un plaisir de vous dénoncer si vous vous dérobez. Vous vous demandez ce qui se produira selon le choix que vous ferez, mais vous n'avez pas de temps à perdre, vous devez vous dépêcher de vous débarrasser du chat pour éviter d'avoir à affronter celui ou celle qui s'apprête à franchir le pas de la porte : vous décidez donc de vous emparer du flacon indiquant «Buvez-moi». Alors qu'il semblait déjà démesuré, le sourire du chat s'étire encore lorsqu'il vous observe avec gourmandise, les yeux rivés sur le flacon dont vous avalez le contenu d'un trait. Le liquide sucré et fruité glisse depuis votre palais jusque dans votre gorge, et vous en ressentez déjà les effets. C'est comme si le monde se distordait, mais qu'il restait le même en même temps. En quête d'une explication, vous plongez votre regard dans les yeux du chat, mais ceux-ci ne vous répondent en rien. Au lieu de ça, ils suivent l'exemple du sourire et s'agrandissent démesurément. Enfin, c'est ce que vous pensiez, car vous réalisez avec horreur votre méprise : c'est en fait vous qui êtes en train de rétrécir. Et ce n'est pas la seule chose qui vous terrorise : à présent que vous n'êtes pas plus grand qu'une de ses pattes, le félin approche d'un pas de velours et son sourire prend tout son sens : vous êtes passé de l'état de jouet de torture à celui de prochaine collation. Votre coeur tambourine de plus belle dans votre poitrine. Vous devez trouver un échappatoire, et vite ! Par chance, vous apercevez un trou de souris creusé dans le caramel composant un angle de la pièce, et sans perdre une seconde, vous vous ruez dans sa direction. Tandis que vous courrez, vous vous rendez compte que les pas lourds ont cessé de retentir depuis quelques secondes déjà, et une voix doucereuse s'élève depuis la porte que vous avez traversez plus tôt  : - Alors, chaton ? On dirait que tu as trouvé quelque chose d'intéressant. Puis, d'un ton directif : - Ramène-moi la !

Chapitre 1 :
Se dépêtrer du cauchemar

de l'histoire
Se dépêtrer du cauchemar
GinCor

Il sortit la tête, puis les épaules avec une peine inouïe. Il se retrouva debout, le dos courbé, écrasé par un poids qui voulait toujours plus le faire couler. Il ouvrit lentement les yeux sur de l’ombre. Une ombre épaisse qui lui ôtait l’espoir de voir clairement devant lui. Il ne discernait qu’un mince chemin à parcourir, droit devant. Un tunnel très hypothétique, incertain. Il leva une jambe. Une jambe engluée, comme collée dans une masse lourde.  La boue l’engloutissait jusqu’aux hanches. Chaque pas lui donnait envie de s’arrêter, de se rendormir. Son visage dégoulinant de crasse était pesant. Sa peau finirait-elle par s’arracher de ses chaires ? Chaque mouvement l’empêtrait un peu plus, le noyait un peu plus, le mangeait un peu plus.  La glu de terre infiltrait ses oreilles, son nez, se faufilait entre ses doigts, ses orteils, plaquait ses paupières. Rien ne pouvait prétendre rivaliser avec la puanteur qui s’en dégageait. Le toit opaque au-dessus de lui laissait échapper des coulées liquides qui imprégnaient davantage ses cheveux.  Il avança encore alors que le bain de gelée protestait et le retenait, comme pour le garder.  Sa peur alimenta sa force pour trois enjambées supplémentaires et il toucha enfin l’extrémité du gouffre dans lequel il était tombé.  Il y avait une porte, là, sous sa main. Une porte vers la sortie de son cauchemar.  Il saisit avec fébrilité la poignée ronde, la serra, la tourmenta. Elle glissait et refusait de le laisser partir. Sadique, complice.  L’air se raréfiait, devenait solide, devenait eau puis mélasse.  La respiration bloquée, il frappa la porte avec toute la force qu’il pouvait encore rassembler.  Les premiers coups ne rencontrèrent que de la poix, encore et encore, jusqu’à ce qu’ils trouvent enfin le bois. La porte céda, ouverte de l’extérieur, et il tomba hors du rêve.  

Chapitre 1 :
Enquête

de l'histoire
Enquête
Laurent

Dans un bureau sentant la clope et le café, un type était plongé dans tout un tas de papiers. Son apparence était négligée. Quelqu'un toqua à la porte.   - Entrez.   Un autre flic entra alors dans le bureau.   - Tu as pu trouver quelque chose ? - Henry, c'est toi.   Le type releva la tête. Il avait l'air content de voir son collègue.   - En chair et en os. J'ai enfin pu reprendre le boulot. - Comment va le petit ? - Une vrai tempête ! il rigola. Tu devrais voir l'énergie qu'il a, on a à peine le temps de se reposer. - Ca lui fait combien ? - Tout juste 3 mois. Et toi Eric, tu attends quoi ? - J'ai pas vraiment le temps pour ça. Eric laissa le silence traîner légèrement, avant d'ajouter Ni la compagne. - Bah, tu trouvera bien un jour !   Henry donna une tape amicale dans le dos d'Eric. Ils étaient deux collègues de longue date, et s'étaient d'ailleurs rencontré à l'école de police. Aujourd'hui, Henry était chef de division, et par la même, le supérieur d'Eric, ce qui ne le gênait en aucun cas. Eric s'était spécialisé dans le profilage, Henry dans la conduite générale des enquête. La spécialité de leur division : les enquêtes impossibles. Souvent des cold cases, mais pas uniquement. Cette enquête ci faisait partie des "pas uniquement".   - Pour te répondre, c'est un vrai bordel. - Tu m'en diras tant. - Tous les meurtres semblent liés à une femme, Hailey, mais pour autant, je ne trouve rien de vraiment concluant. Chacun pourrait avoir un motif... Henry finit la phrase d'Eric - Autrement dit, si tout le monde est suspect, personne ne l'est. - Bingo.   Une femme toqua à la porte. Son visage était emprunt d'inquiétude.   - Chef ? - Ha, Sylvie ! Content de te revoir ! - On a un problème.   L'ambiance devint plus sombre dans le bureau.   - De quoi s'agit-il ? - Hailey a été portée disparue. - Quoi ?! Tu en es sûre ? - Absolument, personne ne l'a vu depuis 3 jours, et ses effets personnels sont en partie manquants. - Et merde ! Rassemble ceux qui sont dispo, qu'ils aillent intérroger la bande d'amis, ensuite prépare toi, on va à son domicile. Eric, tu viens aussi. - Oui chef !   Sylvie quitta la pièce précipitamment.   - Toujours aussi formelle. - Toujours, mais elle fait un excellent travail. Rassemble tes papiers, on part dans deux heures. - Bien. - Retrouve moi sur le parking au moment de partir, je vais voir si l'équipe labo est dispo.   Henry quitta le bureau sans demander son reste, il savait qu'Eric allait faire les choses correctement.

Chapitre 4 :
Nouvelle amie

de l'histoire
L'homme de l'ombre
Laurent

Mizumi voyait devant lui un hôpital désafecté. Bien que ne comprenant pas pourquoi, le rendez-vous était bien ici. Cependant, personne ne l'attendait. L'heure était presque passée. Attendant dans le froid les quelques minutes le séparant de minuit, Mizumi regardait le viel hôpital. Quand minuit pile sonna, depuis une fenêtre du troisième étage, des flash apparurent, par saccade. Mizumi reconnu tout de suite l'utilisation de code morse. Cependant, il ne s'agissait pas de morse classique. Il ne faisait aucun doute que ce code était celui qu'il avait connu pendant la guerre. Cela ne pouvait être que Saito. Le code disait poubelle - chat - lunettes Après exactement 60 secondes, les flash cessèrent, et l'hôpital retrouva sa solitude. À sa gauche, Mizumi voyait une route d'accès privé, qui semblait s'enfoncée plus loin dans le sol. Au bout, une énorme porte de garage fermée accusait des années de tag et ded rouille. Une lueur attirait le regard de Mizumi, cachée par de la végétation. Celle si semblait révéler la silouhette d'un chat immobile. S'y dirigeant, Mizumi découvra un chat de carton, fixé au couvercle d'une poubelle. Dans cette dernière, une paire de lunettes tactiques datant là encore de la guerre. Mizumi les enfila, et les alluma. Il se souvenait très bien de ces lunettes, malgré les années. À l'époque, elles servaient à repérer des camps ennemies dans la nuit, en révélant aux porteurs une substance bleutée, invisible sans. Cette fois ci, ce que Mizumi vit fut un cadre sur la porte de garage. En s'y approchant, il découvrit qu'une porte avait été découpée, puis camouflée par des tags. Il l'ouvrit, non sans difficulté, puis referma derrière lui. Il se retrouva dans un hangar sombre, poussiéreux, tout juste éclairé par quelques indicateurs de sortie de secours à alimentation atomique, donnant au lieux une ambiance pesante. Regardant autour de lui, une flèche lui apparu à travers la poussière soulevée par l'ouverture de la porte. S'y dirigeant, Mizumi découvrit un couloir menant au bâtiment principal. Comme il s'y attendait, l'endroit était délabré. Les tapisseries tombaient, pourrisaient, les néons ne fonctionnaient plus, le sol était recouvert de poussière, et rien ne pouvait laisser supposé que l'endroit était encore utilisé. Mizumi suiva les flèches dessinées sur les murs, dans un dédal de couloirs et de salles sans logique apparante. Clairement, il s'agissait d'un chemin conçu de façon à ce que personne ne puisse le trouver par hasar. Mais l'ambiance du lieu devenait de plus en plus pesante. L'état de délabrement du bâtiment, la solitude induite par ce labyrinthe, et les bruits parasites du lieu oppressaient Mizumi. Après de longues minutes à parcourir l'hôpital, Mizumi arriva enfin au troisième étage. Un dernier couloir, et il se retrouva devant une porte différente de toutes les autres. Mizumi resta devant, prit de panique. C'était une lourde porte blindée, equipée d'un pavé numérique à 12 symbols. Il était évident qu'elle avait été installée ici bien après la fermeture de l'établissement. Malheureusement, aucun indice concernant le code à rentré, ni sur la porte, ni sur le pavé, ni sur les murs. De plus, Mizumi remarqua, dans l'interctice, deux câbles légèrement dépasser. Il les reconnu de suite. Un explosif était disposé derrière la porte, et à en jugé par le type de câble, il le tuerais sur le coup. Vu les précautions prises jusque là, Mizumi devina que quoi que cache la porte, tout devait être piégé. S'il se trompait, il mourrait, et tout serait détruit. Cette porte était le dernier obstacle entre lui et la véritié. Il était trop tard pour faire demi-tour. Soit Mizumi arrivait à l'ouvrir, soit elle le tuerais. Il fouilla des yeux autour de lui, cherchant des indices, mais ne trouva rien dans un premier temps. Après quelques minutes, il enleva ses lunettes. se disant que peut-être la réponse se dévoilerai à ses yeux nus. Sur le moment cependant, rien ne vint. Et puis, du coin de l'oeil, il remarqua un détail qui l'intrigua. Dans ce cul de sac, il y avait étonnament plus de posters que dans le reste de l'hôpital. Il s'approcha de l'un deux, une affiche promouvant le dépistage contre une maladie des yeux, qu'on pensait à l'époque liée à la multiplications des écrans dans les villes. À priori, rien n'en ressortait. Mais alors qu'il allait laisser tomber et passer à une autre, il remarqua que le coin bas gauche n'était plus rattaché au mur. Il le souleva, et trouva un symbol dessiné sur le mur, accompagné d'un numéro. Mizumi passa alors toutes les autres affiches au peigne fin, et chacun d'elles cachait en effet un symbol. Après avoir recomposé le code mentalement, il le rentra sur la porte, non sans tremblé légèrement, connaissant le destin qui l'attendait si jamais il se trompait. Rentrant le dernier symbol, plusieurs secondes de silence s'ensuivirent, avant qu'un cliquetis ne se fasse entendre, et que la porte ne se dévérouille. Mizumi, soulagé, l'ouvrit, et fu instantanément saisit par une odeur âcre, qui n'avait rien à faire là. La pièce s'illumina, aveuglant Mizumi quelques instants. Quand il pu enfin ouvrir les yeux, il trouva devant lui quelque chose auquel il n'aurait jamais pu s'attendre. L'endroit était propre, intact, rempli de machines médicales fonctionnelles, et d'ordinateurs allumés. Devant l'une des consoles, Saito était assis. Il regarda Mizumi avec fierté.   - Te voilà enfin. - Saito, qu'est ce qu'il se passe ? - Prend une chaise, j'ai beaucoup à te raconter.   Mizumi s'éxecuta.   - Je savais que tu réussirait à trouver cet endroit. Tu vois, cet hôpital a fermé au début de la guerre, faute de financements. Depuis lors, le gouvernement l'a totalement abandonné. Avec le contrôle grandissant des corporations sur la santé, il n'était plus nécessaire de le faire revivre. Très vite, les gens également l'on oublié. Cependant, il y a 3 ans maintenant, j'ai été interpellé par d'anciens combattants qui, comme moi, ont perdu des membres lors des combats, et n'ont pas été suffisamment pris en charge par les corporations, ou le gouvernement. Au début, ils m'ont parlé d'un plan pour faire pression sur les corporations afin d'obtenir réparation. Je ne souhaitait pas les suivre, mais ils avaient un autre plan. Produire nous-même de nouvelles prothèses. Cette idée m'intéressa, et je commença à travailler avec eux, en restant en retrait. Très vite, il fallu trouver un endroit pour notre activité, afin d'entreposer notre matériel, et pouvoir travailler sans être embêtés. J'eu alors l'idée de s'installer ici. Bien sûr, nos débuts étaient loin d'être aussi sofistiqués, et encore moins sécurisés. Mais après un an de travail, il fallu se rendre à l'évidence, notre activité commençait à faire des vagues. Une de mes missions était de monter des plans pour voler du matériel. Je ne voulais pour autant pas participer aux vols. Mais si les premiers mois, les vols étaient peu nombreux, après la première année, nous avions amassé pas mal de matériel, et nous avions besoin d'encore plus. Malheureusement, prient dans la spiral, nos ambitions évoluèrent. Certains d'entre nous voulions un outil pour rivaliser avec les corporations. À ce moment, une partie du groupe fit scission du reste. Je n'ai plus jamais eu de nouvelles d'eux. Ils ont tenté de disparaître, pour éviter les problèmes. Avec ceux qui restaient, nous avons commencer à fantasmer notre outil. Après quelques recherches, la décision finale fut de créer une intelligence artificielle. Une vrai intelligence artificielle. - Une conscience ? - Une conscience. - Comment ? - Avec beaucoup, beaucoup de tentatives. Mais cela ne fut pas suffisant. Même les meilleurs d'entre nous ne pouvaient réussir. Nous n'étions pas assez compétent. Une autre année passa, sans plus de succès. Mais il y a un an, un courrier arriva à notre repère. Une peur profonde s'immiça en nous, puis la stupeur. C'était un courrier de Sakako Hūshi. - La Sakako Hūshi à l'origine de ALIA ? - Elle même. Je ne sais pas trop comment, mais des bruits de notre activité lui sont parvenu. Pour trouver notre repère, elle devait avoir un réseau très efficace. Elle demandait à nous retrouver. Après une longue discussion, nous avons décider d'accepter. Nous somme aller à l'adresse donnée le jour du rendez-vous, et elle décida finalement de nous rejoindre. À partir de ce moment, ses compétences augmentèrent nos résultats de manière drastique. Peut-être un peu trop, car 4 mois plus tard, l'un de nous cesssa de venir, sans donner d'explications. Deux jours plus tard, il fut retrouvé mort. Le mois d'après, la même chose arriva à quelqu'un d'autre. Il était évident pour nous qu'il s'agissait d'attaques ciblées, et par peur, presque tout le monde abandonna. Certains s'en sortirent, d'autres non. À la fin, il ne resta plus que moi et Sakako. Pendant 3 mois, nous avons travaillé sur notre intelligence artificielle, jusqu'à très récemment. Alors que je devais rejoindre Sakako ici, je ne trouvais qu'une lettre de sa part. Elle m'annonçait devoir abandonner le projet, sa vie était trop en danger. Mais un disque dur était join au courrier. Sa dernière contribution. Des ajustements dans le code même du coeur de l'IA. Cela n'aura pas suffit à la sauver. - D'où la visite de l'inspecteur. - Je savais bien que cela allait finir par arriver. Mais pas si vite. Sans Sakako, le projet ne peut plus avancer. Elle seule en avait la possibilité. - Et le disque dur ? - Justement. C'est là que je vais avoir besoin de toi. Tu as du remarqué les équipements médicals. La seule solution que nous avons trouvé pour supporter cette IA est de la connectée directement à un cerveau. - Pardon ? - Si nous avions eu plus de temps, nous aurions pu propager son code sur le net, et la faire supporter sur plusieurs serveurs à traver le pays, mais maintenant c'est impossible. Je ne peux pas intégrer les dernières modifications de Sakako dans le code de l'IA sans source d'énergie suffisante. - Tu veux l'implanter en moi. - Il le faut. - Es-tu sûr que cela fonctionnera ? - Non. Mais c'est notre dernière chance. Je n'ai personne d'autre pour supporter ce rôle. - Quelles sont les conséquences possibles ? - C'est encore très incertain. Mais l'implantation d'une conscience au sein même de ton cerveau pourrait nécessiter un temps d'adaptation pour que vos deux consciences concerve une place qui leur est propre sans tenter de prendre le pas l'une sur l'autre. Nous avons déjà fait des test parcellaires sur des animaux, et dans le pire des cas, la proto-conscience implémentée a totalement été consummée par la conscience propre de l'animal. Mais si les dernières modifications de Sakako s'avéraient fonctionnelles, je ne sais pas trop ce que pourrait donner un mélange de deux consciences. - Et pourquoi me l'implanter à moi ? Pourquoi pas ne pas la supporter toi-même ? - Je suis trop vieux. Les risques que ma conscience soit détruite dans le processus, voir que les deux consciences le soit, sont trop important. Et je suis probablement déjà dans le collimateur de ceux qui nous veulent du mal. Tu es le seul qui puisse prendre ce rôle. - Qui aurait du supporter l'IA ? - Sakako elle-même. En étant sa créatrice, nous avons supposé que les chances de réussites seraient plus grandes. - Explique moi quelque chose. Tu m'as dit de ne plus m'occuper de mon affaire. Comment es-tu au courant ? - Je garde un oeil sur toi depuis un moment. Je ne pouvait permettre qu'il t'arrive quoi que ce soit. - Tu sais bien jouer double jeu. - Tu n'es pas mal non plus là dedans je te ferais remarquer.   Depuis le début de cette conversation, c'était le premier moment où les deux hommes se montraient de nouveau un peu de complicité, presque d'insouciance.   - Est-ce que je peux compter sur toi ? - Ca n'a pas l'air très rassurant ce plan. - Non, je te le concède. Mais je n'ai aucune autre solution. - Comment cela se passera si son code fonctionne ? - Nous avons pu assurer une base de connaissance, son esprit ne sera pas vierge. Cependant, elle devra apprendre bien d'autres choses, et le plus important, c'est à toi que reviendra la décision de son entraînement, voir peut-être même de ses désirs, opinions, ou valeurs. Je ne sais pas bien dans quelle mesure la dernière modification de Sakako diffère de ce que nous avons établie avant, donc je ne sais pas vraiment comment sa conscience va se créer. Elle pourrait être comme une femme pleinement développée, ou comme une enfant à qui il faut tout apprendre. - Une femme ou une enfant ? - Ha oui, nous avons décidé de faire de cette conscience une femme. Si tout vas bien, elle devrait avoir à peu près ton âge. Et potentiellement, une image mentale d'elle-même. - Est-ce que tu peux me donner un peu de temps pour réfléchir ? - Bien sûr, prend un peu de temps pour toi. Mais je dois t'avouer que le temps presse un peu.   Mizumi alla s'assoir un peu plus loin dans la pièce pour repenser à toute cette histoire. Cela faisait beaucoup d'informations, en peu de temps. Le plan était risqué, mais si Saito l'avait fait venir, et lui avait parlé de tout ça, c'est qu'il n'avait sûrement vraiment pas le choix. Mizumi avait du mal à imaginer ce que pourrait bien donner le fait de vivre avec deux consciences dans un même corps. Comment pourrait-il l'entraîner ? Quelles valeurs fallait-il lui transmettre ? Que faire ? Il n'était pas aisé de penser à tout cela. D'un coup, un gyrophare rouge se mit à tourner, accroché au plafond au centre de la pièce. Mizumi regarda Saito, paniqué. Mais il vite très vite dans le regard de sont ami que sa peur était justifiée.   - Qu'est-ce qu'il se passe ? - Merde ! Ils ont trouvé le labo ! - Qui ça ? - Les gros bras des corporations ! On a plus le temps, tu dois te préparer à l'implantation. - Tu ne sais même pas si ça va marcher !   Saito prit Mizumi par les épaules, le regard de chacun plongé dans celui de l'autre. Sans plus de paroles, Mizumi comprit.   - Allonge toi sur le lit.   Mizumi s'installa dans le silence. Saito attacha ses bras, ses jambes, et sa tête, avec des lanières de cuir, et amena au dessus de lui une machine inconnu de Mizumi.   - Cette machine va aller implanter la puce en marge de ton cerveau. Après ça, je vais la relier à la console, afin de faire l'upload du code de Sakako. Après ça, je l'activerais. Quand ce sera fait... - On verra bien à ce moment là.   Un bruit d'explosion se fit soudain entendre, et le bâtiment vibra. Saito aluma une série d'écrans au dessus de la console. Il s'agissait de caméra dissimulée dans, et en dehors de l'hôpital. L'un des écran affichait de la statique.   - Ils ont fait exploser la porte du hangar.   Saito, en disant ça, ne se retrourna pas. Il était appuyer sur la console, debout. Tremblant. Quand il se retrourna, Mizumi vit les yeux de son ami. Il pleurait.   - Tu dois terminer ce que nous avons commencer. Tu dois nous venger.   Mizumi ne répondit pas. Il n'en était nul besoin. Saito activa la machine au dessus de Mizumi, et cette dernière commença à diriger un tube vers son crâne.   - Tu sera localement anesthésié immédiatement, ne t'en fais pas. Comme il s'agit du cerveau, tu vas perdre connaissance. Je ne sais pas exactement quand tu retrouvera tes esprits, mais tu ne sera plus dans ce bâtiment, je m'en suis assuré.   La machine commença à percer le crâne de Mizumi, qui vit sa vision se brouiller. Se sentent partir, il utilisa ses dernières forces pour parler une dernière fois à son ami.   - Saito....je.....tu es mon ami..... - Tu es mon ami aussi...   Mizumi eu à peine le temps d'entendre les derniers mots de Saito qu'il sombra dans l'inconscience.

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